Caracole de la Roque, le fruit rêvé d'une succession de bons choix (2/3)

“Une fusée au moment du décollage.” Voilà comment Karl Cook définit sa jument Caracole de la Roque, alias “Cara” ou “Caracool” pour les intimes. La Selle Français a réalisé une saison 2024 de rêve sous la selle de son cavalier américain avec, à la clé, un titre de vice-champion olympique par équipes, obtenu après avoir remporté le Grand Prix Rolex de Rome et terminé deuxième de celui de La Baule. Derrière cette éclatante réussite se cache un pan d’un élevage typiquement français, fait d’une rare succession d’éleveurs clairvoyants et de sélections de mères exceptionnelles.



La première partie est à retrouver iciEn remontant le fil du temps et des mères dans le pedigree de Caracole, on trouve sa cinquième mère, Isara B (Quastor) qui fut la première fille de Drina (SF, Oferista, Ps et Nadine par À C’T’Heure), propriété de Jean Brauld, éleveur en Loire-Atlantique, et véritable matrone de l’élevage SF. Drina, née en 1969, a en effet engendré plusieurs branches fécondes en performeurs et qui s’illustrent toujours au meilleur niveau aujourd’hui, dont certaines ont en commun d’avoir rencontré avec succès le sang de Quidam de Revel, Galoubet A ou Kannan. Sa fille Isara B, finaliste à quatre, cinq et six ans,...

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