“Dans notre sport, le rythme est vraiment effréné et difficile à tenir”, Harry Charles (2/3)

Faire un pas en arrière après avoir atteint le graal. Voilà ce qu’a fait Harry Charles après avoir été sacré par équipes aux Jeux olympiques de Paris à seulement vingt-cinq ans, l’été passé. Après une pause ressourçante, le Britannique s’est attaché à reformer une écurie digne de ses ambitions, sans oublier de savourer sa vie de jeune homme, ce qui l’a amené à dire “oui” à la cavalière et mannequin américaine Eve Jobs, il y a quelques semaines. Trente-quatrième cavalier du classement mondial, le sympathique fils de Peter Charles, lui-même couvert d’or olympique par équipes en 2012, évoque dans cette deuxième partie d’entretien l’après JO et ses objectifs.



La première partie de cet entretien est en ligne ici.Lorsque Steve Guerdat a décroché l’argent individuel aux Jeux olympiques de Paris avec Dynamix de Bélhème, il a conseillé au médaillé d’or Christian Kukuk de savourer cet accomplissement, regrettant de ne pas l’avoir suffisamment fait lui-même à l’issue de son sacre londonien, en 2012. Comment avez-vous abordé cela après la médaille ?Je pense avoir plutôt bien géré cet aspect, car j’ai presque immédiatement pris des vacances. Je suis simplement allé à Londres pour le Longines Global Champions Tour, où Sherlock et moi avons remporté le Grand Prix douze jours apr&egra...

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