Caroline Godin, le dressage à double Cense

Un peu entre deux eaux depuis les Jeux olympiques de Paris 2024, le dressage tricolore a amorcé ces derniers mois une tentative de reconstruction et de recherche d’un nouveau souffle, qui plus est depuis les retraits de Corentin Cottier et Camille Judet-Chéret de l’équipe de France. Ainsi, quelques nouveaux visages bénéficient d’un contexte favorable pour se faire remarquer et émerger. Parmi eux, Caroline Godin, dont le binôme avec Querida de Hus a attiré la curiosité du staff fédéral. Rencontre avec cette Francilienne de trente-neuf ans, qui jongle entre les casquettes de cavalière internationale et de responsable des formations au haras de la Cense, pilier de l’équitation éthologique dans l’Hexagone. 



Ils ne sont pas si nombreux ces dresseurs qui manient aussi bien la badine que le “carrot stick” éthologique. Les Pays-Bas ont l’Australo-Britannique Tristan Tucker, l’Allemagne possède ses Australo-Suédois Anna Blomgren et Will Rogers, et la France n’aurait-elle pas sa Caroline Godin? Si la planète équestre avait les yeux rivés sur Paris-Bercy le 15 mars 1986, où Pierre Durand et Jappeloup faisaient vibrer les spectateurs en y remportant la Coupe du monde de jumping, la famille Dehedin s’émouvait davantage de la naissance de sa petite dernière. “Je suis née au Chesnay, dans la même clinique que Kevin Staut”, introduit en s’amusant Caroline, qui côtoiera d...

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