Une taxe carbone sur les crottins entre en vigueur
C’est officiel : à partir de ce 1er avril, une “taxe carbone équine” sur les crottins produits lors des compétitions internationales entre en vigueur. Une mesure inédite qui vise à réduire l’empreinte écologique des sports équestres et à encourager des solutions plus durables pour la gestion des déchets équins.
POISSON D’AVRIL !
Selon une étude menée par des chercheurs suisses, un cheval de sport produit en moyenne 35kg de crottins par jour, soit plusieurs tonnes sur un concours de plusieurs jours. Le stockage et le traitement de ces déchets génèrent une pollution non négligeable, notamment en méthane.
Face à cette réalité, les instances internationales ont décidé de réagir en instaurant une “écotaxe équine” : chaque cheval inscrit en compétition devra désormais payer un supplément en fonction du nombre de crottins produits.
Afin de garantir un suivi précis, une startup française a développé un capteur intelligent à fixer sous la queue du cheval. Ce dispositif révolutionnaire, baptisé “PoopTrack”, enregistre chaque déjection et transmet les données en temps réel aux organisateurs.
“Le but n’est pas de sanctionner, mais de responsabiliser”, précisent les instances dirigeantes. “Les organisateurs pourront adapter leurs infrastructures et inciter les cavaliers à adopter des régimes alimentaires favorisant une digestion plus efficace.”
Combien ça coûte ?
Le tarif serait fixé selon une grille progressive :
- 1 à 3 crottins/jour : Gratuit
- 4 à 6 crottins/jour : 5 euros par crottin supplémentaire
- 7 crottins et plus : 10€ par crottin supplémentaire + obligation d’utiliser un “sac à crottins” attaché à la queue
Certaines écuries de haut niveau s’inquiètent déjà de l’impact de cette taxe. “Avec mes six chevaux engagés sur une tournée de deux semaines, je vais devoir prévoir un budget spécial crottins !”, s’exclame un cavalier de CSI 5*.
Des alternatives pour réduire la facture
Pour éviter les frais supplémentaires, des solutions sont à l’étude : régime alimentaire optimisé pour une digestion plus efficace, stations de compostage mobile sur les terrains de concours, sac à crottins individuel, déjà testé sur certains poneys de club…
Depuis cette annonce, les réactions sont partagées. Certains saluent une avancée écologique nécessaire, tandis que d’autres dénoncent une mesure “ridicule et ingérable”. Un cavalier ironise : “Bientôt des sacs à crottins floqués aux couleurs de nos sponsors ?” Reste à voir si cette mesure sera bien accueillie… ou si elle finira aux oubliettes, comme un crottin mal ramassé sur la piste !
POISSON D’AVRIL !
