“Nous devons nous y plier, mais le dopage des chevaux me semble plus préoccupant que celui des cavaliers” Nicolas Touzaint (2/2)

L’an dernier, la politique des agences nationales de lutte antidopage vis-à-vis des athlètes de haut niveau s’est retrouvée au cœur de l’actualité équestre. En France, le cas de Morgan Barbançon Mestre, condamnée à dix-huit mois de suspension par le Tribunal arbitral du sport pour des manquements répétés aux obligations de localisation imposées par l’Agence française de lutte contre le dopage a fait grand bruit. Pilier de l’équipe de France de dressage, la cavalière avait dû tirer un trait sur les Jeux olympiques de Paris 2024. Ce système de localisation, permettant de procéder à des contrôles inopinés, est jugé trop contraignant, voire injuste, par un certain nombre de cavaliers. La Fédération équestre internationale entend l’étendre aux chevaux.



La première partie de cet article est à retrouver, ici !Désormais, la lutte antidopage repose sur une collaboration étroite entre différentes organisations nationales et internationales. Par exemple, pour les athlètes tricolores, l’AFLD et l’Agence de contrôles internationale (ITA) travaillent en concertation pour optimiser le suivi des sportifs et éviter tout chevauchement inutile. De nombreuses fédérations internationales, dont la Fédération équestre internationale (FEI), délèguent leur programme antidopage à l’ITA. “Certaines fédérations ont encore leur propre dispositif, mais elles sont rares”, explique Éric Berenyi. Cette cen...

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