“Je suis heureuse d’être reconnue pour l’équitation que j’ai à coeur de pratiquer”, Pauline Basquin (1/2)
Bien installée aux commandes du dressage tricolore, Pauline Basquin n’a pas fait que représenter la France l’été dernier aux Jeux olympiques de Paris. Plus que la nouvelle coqueluche du public, la cavalière du Cadre noir de Saumur est devenue une ambassadrice d’une certaine vision de l’équitation; peut-être même une réponse, parmi d’autres, aux critiques émises à l’encontre d’une discipline qui cherche les clés de son avenir. Entre son expérience olympique, la suite de la carrière de son fidèle Sertorius de Rima*IFCE, sa relève et ses ambitions pour elle et pour son sport, la Bretonne s’est confiée.
Avec quel mot d’ordre entamez-vous l’année 2025? Je débute cette année avec une idée très simple: celle de continuer à me faire plaisir! Je n’ai pas d’autre souhait que de poursuivre sur la trajectoire dans laquelle Sertorius de Rima*IFCE (Z, Sandro Hit x Voltaire) et moi sommes, sans le mettre dans le rouge. Je veux juste profiter de ce qu’il accepte de me donner et, comme il montre qu’il a envie de continuer, je suis ravie. Ce serait évidemment formidable si nous pouvions participer à la finale de la Coupe du monde de Bâle, en avril (au 10 février, la Française était en bonne voie puisqu’elle pointait à la sixième place du classement gén&e...
