La monte sans mors, phénomène de mode ou voie d’avenir ?

Alors que le bien-être équin occupe une place grandissante auprès des acteurs de la filière équestre, de nouveaux savoir-faire émergent chez les cavaliers et viennent contredire bon nombre d’idées reçues. Les cavaliers partisans de la monte sans mors tendent à ouvrir la voie à une équitation qu’ils considèrent plus vertueuse, et qui ne serait pas forcément inconciliable avec la compétition. En témoignent les parcours de Marion Perrissinoto en cordelette au Jumping international de Bordeaux, dont les images ont fait des émules sur les réseaux sociaux, ou encore la quête perpétuelle de Gregory Cottard d’une équitation aussi légère que compétitive. Ces deux cavaliers, ainsi que Pierre Crampon, livrent leur vision sur ce phénomène. 



Jusqu’à il y a peu, la monte en licol ou en cordelette semblait se cantonner uniquement ou presque aux adeptes de l’équitation dite éthologique, ou ne s’adresser qu’à une catégorie sous-représentée de cavaliers, soucieux de se diriger vers une équitation différente de celle enseignée la plupart du temps. Mais en 2024, un changement majeur est survenu dans les règlements qui s’appliquent aux terrains de concours: la Fédération française d’équitation (FFE) autorise désormais la pratique de la monte sans mors en compétition. Un collectif de cavalières s’est alors élancé à l’assaut des pistes de Lamott...

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